Chargement

Laurence MULLER-BRONN est une femme politique française. Apparentée au groupe Les
Républicains, elle est élue sénatrice du Bas-Rhin le 27 septembre 2020. Elle fait partie de
la commission Aménagement du territoire et développement durable du Sénat jusqu'en
septembre 2023 avant de rejoindre la commission des affaires sociales pour la seconde
partie de son mandat. Laurence Muller-Bronn est nommée rapportrice pour la
proposition de loi sur l'hydroélectricité en France.

Après avoir créé une association humanitaire d’Etudiants en médecine à la Faculté de
Strasbourg, Catherine Vierling exerce la pratique de la médecine générale durant de
nombreuses années, en France, ainsi que dans le cadre de missions humanitaires, en
Afrique, en Amérique Latine et en Asie. En 1990, durant plusieurs années, elle est
secrétaire générale du Mouvement Mondial des Mères, une ONG onusienne créée en
1949.
En tant qu’économiste de la santé, elle est sollicitée à partir de 1994 dans les institutions européennes, où elle
participe à de nombreux travaux, auprès de parlementaires, au Parlement européen et au sein de
représentation d’Etat membre près le Conseil de l’Europe.
Dans la deuxième partie de sa carrière elle redécouvre et se forme en médecine thermale, en micronutrition,
et dans d’autres pratiques anciennes et novatrices de la santé.

Disciple de Julien Freund, Chantal DELSOL fonde l’Institut Hannah Arendt en 1993 et
devient membre de l'Académie des sciences morales et politiques en 2007, qu'elle
préside en 2015. « Libérale-conservatrice », fédéraliste, et en faveur du principe de
subsidiarité fondé sur celui de la singularité, elle est éditorialiste à Valeurs actuelles,
directrice de collection aux éditions de la Table ronde et l'auteur de plusieurs romans.
Son oeuvre philosophique porte notamment sur la modernité tardive, la démocratie, le
totalitarisme et le populisme, l'école, l'universalisme républicain et le libéralisme, la philosophie du droit,
l'histoire de la religion chrétienne et la philosophie contemporaine d'Europe de l'Est.

Il dirige l’Institut méditerranéen des sciences de la vie (MedILS) à Split, en Croatie, qu'il a
créé en 2003 avec Marija Alačević. Professeur à l'Université libre de Bruxelles de 1973 à
1983, puis professeur de biologie cellulaire à l'Université Paris Descartes et directeur de
l'unité INSERM U571 « Génétique moléculaire, évolutive et médicale » de la faculté de
médecine de l'Hôpital Necker à Paris. Plus récemment, les recherches de Miroslav
Radman visent à découvrir les mécanismes liés au vieillissement (rôle de l’oxydation des
protéines) et à la parabiose (communication intercellulaires pour maintenir l’homéostasie).
En 2002, il est élu membre de l'Académie des sciences française. Il est également membre de l’Académie
américaine des sciences (2018), de l’Académie croate des sciences et des arts et de l’Académie américaine des
arts et des sciences. Il a reçu de nombreux Prix tout au long de sa carrière.

Professeur des universités et Docteur habilité depuis 1993, sa recherche scientifique a
donné lieu à environ 160 publications ayant fait l’objet de plus de 13 000 citations. Marc
HENRY cherche à comprendre l’eau sous tous ses aspects : physique, chimique,
biologique en relation avec les phénomènes électromagnétiques, mais aussi historien
des sciences et épistémologue ainsi que philosophe essayant de comprendre
l’émergence du phénomène de conscience en relation avec la physique quantique.

Chercheur à l’INSERM, il travaille au Laboratoire d'informatique médicale et
d'ingénierie des connaissances en e-Santé (LIMICS), une unité mixte de recherche. Il est
par ailleurs le fondateur et directeur d’une association nommée « Institut de recherche
pour la valorisation des données de santé » (IRSAN), qui propose ses analyses des
données médicales relatives à certaines épidémies.
Il obtient en 1985, la même année que l’X, un DESS en informatique de l'Université
Paris-Sud et le DEA de traitement du signal. Il obtient ensuite un doctorat en physique pour la mise au point de
nouvelles méthodes de traitement numérique pour des analyseurs de spectre par méthode acousto-optique
spatialisable. En 1992, il obtient un diplôme d'études approfondies (DEA) en démographie de l'École des
hautes études en sciences sociales (EHESS).

Leïla GOFTI-LAROCHE enseigne à la Faculté de Médecin et Pharmacie de l’Université
Grenoble Alpes depuis 1998 (Epidémiologie, Evaluation des Risques Sanitaires, hygiène
et hydrologie et Environnement et Santé). Elle est correspondant hospitalier pour les
filières Technologies Information en Santé (TIS) de Polytech Grenoble, depuis 2016.
Praticien au sein de l'Equipe AJA Arc Alpin, elle est engagée dans la Recherche,
coordination et accompagnement médico-psycho-social des adolescents et jeunes adultes atteints de cancer,
ainsi qu’en Epidémiologie et Ingénierie de la Santé / Chargée de projets en cancérologie dont la coordination
de la RCP de génétique moléculaire inter-établissements au sein du Pôle Santé Publique. Rédactrice, pour la
France et l’Union Européenne, de très nombreux rapport de Santé Publique, de préconisations, de référentiels,
elle remplit un rôle de Conseil/expertise scientifique au sein de Santé Publique France (2003-2004 et jusqu’en
2019), elle est contributeur à l'European Network for Cancer research in Children and Adolescents (ENCCA)
depuis 2014.

Sylvie Gilman est journaliste et réalisatrice de documentaires. Après avoir exploré les
thèmes de l'immigration, de la précarité et de la justice pour France télévisions, elle
s'est orientée avec son compagnon, Thierry Vincent de Lestrade, vers des
problématiques de santé et d’environnement. Ensemble, ils ont réalisé pour Arte
plusieurs documentaires où les questions de société sont abordées avec les outils de la
science.
Le documentaire écrit et réalisé en 2011 « Le Jeûne, une nouvelle thérapie », déjà passé neuf fois sur ARTE et
est en cours de réactualisation. En effet, alors que l'espérance de vie s'accroît dans les pays occidentaux, les
cas de diabète, d'hypertension, d'obésité, de cancers se multiplient ; la consommation de médicaments
explose. Depuis un demi-siècle, en Russie, en Allemagne ou aux États-Unis, des médecins et des biologistes
explorent une autre piste : le jeûne. Les résultats sont étonnants. De jeunes biologistes de l'université de Los
Angeles renversent les idées reçues et démontrent par la biologie moléculaire les puissants effets du jeûne. Ils
ouvrent de nombreuses perspectives, y compris dans le traitement du cancer. Si ces scientifiques ont raison,
c'est peut-être notre approche de la maladie et du soin qu'il faudra repenser. A présent, d’autres témoignages
qui viennent d’être récoltés pour réaliser la version révisée de ce documentaire nous sont présentés.

Après des études de médecine à Strasbourg, Laurent Schwartz part aux États-Unis. Il est
chercheur au National Cancer Institute puis médecin de 1985 à 1990 au Massachusetts
General Hospital rattaché à la faculté de médecine de Harvard à Boston dans le
Massachusetts, où il se spécialise en oncologie.
Il revient en France en 1990 où il est recruté comme radiothérapeute par l'Assistance
publique - Hôpitaux de Paris (1993).
En 2016, il publie Cancer : un traitement simple et non toxique, l'ouvrage est préfacé par Luc Montagnier.
Laurent Schwartz considère que le cancer est « dans 97 à 98 % des cas une maladie du vieillissement,
métabolique, causée par une digestion inappropriée des sucres, et non génétique ». Il reprend ainsi le travail
d'Otto Heinrich Warburg dans les années 1930. Pour Laurent Schwartz, le cancer serait une maladie
métabolique, alimenté par une défaillance de l’activité mitochondriale des cellules de l’organisme humain