Cet article relate une expérience personnelle, il ne doit en aucun cas être pris comme exemple, sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent.

Je suis atteint d’un mélanome détecté formellement en avril 2010. C’est à l’occasion d’une visite auprès d’un dermatologue et d’une analyse que le diagnostic est tombé froidement. Immédiatement le dermatologue m’annonce le menu. Opération pour enlever le mélanome soit par l’entremise de l’hôpital et sous anesthésie générale soit sous anesthésie locale au cabinet. Je choisi le cabinet par simplicité et par peur de l’hôpital.

L’hôpital ne tarde pas à me rattraper et m’invite à une première visite. Le ton est froid l’attente longue. On me prescrit une série de piqûres d’interféron 3 fois par semaine pour bloquer le mal ainsi que des analyses régulières de sang. Moi qui ait une sainte horreur des piqûres je serai donc servi !

Les premières analyses montrent que je ne supporte pas le traitement et les médecins du CHU me demandent d’arrêter. Il s’avère qu’après réflexion ce traitement a été supprimé du protocole. Je dois tous les 3 mois aller passer une échographie en externe ce qui reste pour moi un moindre mal. J’apprends que si je passe sans encombre le cap de 5 ans je serai non pas guéri mais en rémission. Le dernier contrôle échographique malheureusement détecte un nodule qui après extraction s’avère être la suite du mélanome. Les médecins sont formels il faut enlever la chaîne ganglionnaire inguinale gauche rapidement. Nous sommes en avril 2015. L’opération n’est pas douloureuse, par contre elle est handicapante. Mon séjour dans un service gastro est compliqué et j’y reste 10 jours en attendant que le drain fasse son effet. En réalité on me libère avec des soins infirmiers quotidiens pour extraire la lymphe de ma plaie je commence à souffrir. Je dois retourner à l’hôpital pour subir une petite intervention via une grosse seringue afin de me soulager. Dès lors je vais mieux, fatigué mais mieux. La suite n’est pas réjouissante : proposition de traitement dont l’explication et la raison ne sont pas clairs. Je refuse

Juillet 2015 : un scan détecte des nodules pulmonaires…

Quelqu’un de mon entourage connaît le Docteur Schwartz. Je le contacte par son intermédiaire, c’est un homme simple et il me reçoit à son domicile non pas pour une visite médicale mais pour une explication de texte.

Il faut supprimer le sucre au maximum de mon organisme :je reprends espoir et je suis le traitement et modifie mes habitudes malsaines culinaires.

Je perds 25% de mon poids (il est vrai très haut au départ) : beau score !

Je suis très en forme. Toujours grâce à Laurent je rencontre un de ses amis oncologue qui m’apprend que si je ne prends rien en parallèle alors il ne me reste plus que 2 ans à vivre.

Il me prescrit un traitement américain fort coûteux et non remboursé

Le scanner suivant montre que les nodules augmentent

Laurent me conseille toujours gentiment. J’ai le choix : je suis le traitement CHU immunothérapique ou je suis son traitement qu’il vient de découvrir dioxyde de chlore. De toute façon il me conseille de prendre de l’acide lipoïque et de l’hydroxycitrate en sus du régime cétogène.

Légaliste j’opte pour le traitement CHU : cela implique pour moi une perfusion tous les 15 jours et un suivi lourd et pesant. Les résultats au bout de 4 mois montrent que la maladie est stoppée. Au bout de 6 mois : certains nodules sont sclérosés mais depuis l’évolution des débuts est moins probante mais seulement encourageante.

Je reste néanmoins persuadé que si je n’avais pas suivi le traitement de Laurent je n’aurais sans doute pas eu les résultats ci-dessus.

En conclusion, je crois que chaque cas est différent mais il est certain que le sucre nous joue un sale tour. Les livres de Laurent et différents scientifiques ont fini par le démontrer et à le faire accepter par les médias

L’immunothérapie est pour mon cas adapté. Je n’ai pas ou peu de séquelle apparente, J’ai un coup au moral pour mes passages d’astreinte au Chu. C’est un moindre mal.

Laurent a par ailleurs des succès indéniables. Je ne comprends pas pourquoi il n’est pas pris plus au sérieux ! C’est un homme humain ce qui reste très rare chez les médecins. Il fait désormais parti de mes amis.

J’arrive au terme des 2 ans prémonitoires et je suis en pleine forme physique.