Témoignage de Charles – Mélanome

Témoignage de Charles – Mélanome

Cet article relate une expérience personnelle, il ne doit en aucun cas être pris comme exemple, sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent.

J’ai témoigné il y a maintenant 2 ans concernant un mélanome que j’ai contracté en avril 2009.
Je vous avais relaté les difficultés d’entente que j’avais perçues entre les médecins du privé et ceux du CHU.
Opéré par un dermatologue privé sous anesthésie locale j’ai reçu presque immédiatement un coup de fil du CHU Dermatologie me convoquant pour un Checkup.
Il semble en effet que tout mélanome recensé dans la région doit être déclaré au CHU pour son suivi.( une loi ou décret le permet paraît-il)
La différence est nette: accueil froid et attente interminable, les professionnels ne sont jamais les mêmes, matériels et locaux obsolètes, dossier papier sans aucune procédure de classement pour le public.

C’est ainsi que des piqûres d’interféron m’ont été ordonnées puis retirées car je ne supportais pas ce traitement. Il s’est avéré que ce traitement n’était pas indiqué et n’est plus du tout administré aux personnes atteintes du mélanome.

Accueil chaleureux avec toujours le même médecin, suivi informatique, réconfort, explication claire pour le privé.
J’ai finalement réussi à négocier avec le CHU que mon suivi clinique et radiologique serait effectué en ville avec cependant l’obligation de me rendre à intervalles réguliers au CHU.

Cette étape a duré 5 ans juste le temps nécessaire pour penser que j’étais guéri. Malheureusement ma dernière échographie a révélé un ganglion malin dans ma jambe gauche.
Après contrôle je n’ai pas eu le choix que de me faire opérer pour enlever toute la chaîne ganglionnaire de ma jambe gauche.
C’est à cette époque donc en 2015 que j’ai pris contact avec Laurent Schwartz pour savoir le chemin à suivre. La difficulté réelle que je ressentais résidait qu’en réalité que le personnel soignant ne savait me guérir mais montrait une assurance à laquelle je ne croyais plus.
Le Dr Schwartz ne m’a pas dit que j’allais m’en sortir mais prodigué quelques conseils tels que maigrir … ou de mieux gérer ma vie professionnelle.
Parallèlement j’ai pris de la metformine. (Je ne suis pourtant diabétique) du sodium R-lipoate et de l’acide hydroxycitrique 3 fois par jour.
Cela ne m’a pas empêché de rechuter avec l’apparition de métastases aux poumons et aux glandes surrénales.
Les chances de guérison s’éloignaient mais j’avais encore beaucoup de tempérament.
J’ai donc opté pour le nivolumab 2 fois par mois (immunothérapie) en conjonction avec l’acide lipoîque, l’hydroxycitrate.
Parallèlement je vendais mon entreprise pour me rendre disponible et sait on jamais préparer la succession.
Bilan : de 134 kg je passais à 95 kg en 2 ans sans trop de difficulté ( plus de sucre) et mes métastases diminuaient.
Enfin en 2018, une alerte sur ma glande surrénale droite m’a conduit à me faire opérer pour l’extraire .
L’analyse de la métastase a montré que celle ci était nécrosée.

Après un traitement nivolumab de 2 ans en parallèle du traitement relançant l’autophagie avec en particulier du sodium R-lipoate et de l’acide hydroxycitrique, j’ai donc été considéré par les médecins en rémission de mon mélanome stade 4 métastatique.
Mes métastases pulmonaires sont nécrosées ou n’existent plus .
Celles des glandes surrénales non plus.
Ma vie médicale depuis mai 2019 est donc ponctuée tous les 3 mois d’un tep scan doublé une fois sur 2 d’un scan pour vérifier si rien ne repart .
A la fin de cette période difficile j’ai décidé de suivre la seule médecin en qui j’avais confiance et qui quittait le CHU pour aller à Gauducheau qui créait un service dermatologie . (Je ne sais pas comment ils ont eu le droit).
Lors du dernier contrôle d’octobre j’ai eu l’occasion de discuter avec cette dermatologue qui me suit patiemment depuis le début soit plus de 10 ans. Après le verdict toujours négatif ce qui reste le principal, je lui ai demandé ce qui arrivait ensuite dans des cas comme le mien. En fait à sa connaissance et en tout cas c’est ce que j’ai compris, je suis le plus ancien dans mon cas, sa réponse est donc très évasive.
Certes il existe des mélanomes traités par Nivolumab mais ceux ci sont traités à des stades moins avancés que mon cas.
Le traitement immunothérapie apparaît en ce sens très indiqué mais ne marche malheureusement pas toujours.
En clair je pense que l’adjonction des 2 traitements m’a tiré d’affaire. Et je touche du bois….
Résultat je ne suis plus convoqué à mes scans que tous les 6 mois.
Il reste que je ne comprends toujours pas pourquoi, devant cette réussite, le traitement relançant l’autophagie n’est pas systématiquement appliqué.en parallèle du traitement d’immunothérapie. Quel risque existe t’il à une telle entreprise? Le sodium R-Lipoate et l’acide hydroxycitrique à ma connaissance n’ont jamais tué personne.
Comment des médecins si brillants n’osent ils pas sortir de la norme du traitement conventionnel ? J’avoue que ça me choque.
Je pense enfin que pour gagner, il faut une dose de chance,un tempérament béton, un soutien familial rapproché. J’avais fait le choix de ne rien révéler à ma famille sauf à mon épouse.

J’en ai également conclu que contrairement aux idées reçues les médecins comme tous les autres professionnels ne sont pas tous des puits de sciences et ignorent souvent comment fonctionne la maladie. Ils suivent des protocoles dictés par leurs pairs dont certains sont peu ou mal testés et se réfugient derrière des études qui peuvent être bidon. Dans cette jungle où l’argent coule à flot, mal contrôlé ou mal employé, l’ego de certains peut être la source de méchanceté incroyable. Des procès, des brimades, des articles de presse surviennent régulièrement. Les malades et le public doivent en être conscients pour trouver la voie et ne pas s’emballer.

J’espère vous donner des nouvelles encore longtemps.

Charles

Témoignage de Greg – Cancer du cerveau

Témoignage de Greg – Cancer du cerveau

Greg raconte son parcours de soin depuis le diagnostic de son cancer du cerveau en 2016.

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Cinq ans déjà, MERCI Dr Schwartz !

Cinq ans déjà, MERCI Dr Schwartz !

En mars 2015 je me tâte le sein et j’y découvre des bizarreries, pas de masse en forme de boule dure. Je décide de surveiller ces fameuses calcifications décelées lors d’une mammographie en 2013, mais il faut en savoir plus et je remets cela à juillet. Pas le temps de m’en occuper.

La suite vous la connaissez, il suffit de lire mes deux précédents témoignages, trop longs aux yeux de plusieurs lecteurs et lectrices. Une chose est sûre, mon cancer était très agressif.

Donc, aujourd’hui, je ne rentrerai pas dans les détails, pourtant très importants concernant le traitement métabolique et le mode de vie que je me suis imposé.

 Aujourd’hui, je voudrais exprimer ma gratitude au Docteur Laurent Schwartz. Je voudrais que ceux qui liront ce témoignage se rendent compte des sacrifices qu’il a accepté de faire, et des coups bas qu’il a subis, parfois de personnes qui l’encensaient, qu’il a aidées, sans qu’on en comprenne les raisons.

Merci Laurent Schwartz, grâce à toi je suis bien vivante, bouillonnante d’énergie, la tête remplie de projets malgré la situation inédite que nous vivons et qui voudrait briser nos rêves.

Je ris de bon cœur à chaque fois que je me rappelle notre échange téléphonique en janvier dernier où tu me souhaitais la bonne année et où je t’avais répondu que 2020 allait être une année terrible, jamais vécue par l’humanité, un tournant dans notre Histoire…mais que ce serait celle où le grand public jusque-là soumis au dictat de la médecine conventionnelle, allait enfin se réveiller…tu m’as répondu par un long silence, pensant que c’était du pur délire.

Je serai là dans cinq ans pour démontrer les effets de ton traitement à tous les médecins qui m’avaient promis une mort proche en 2015, si je n’acceptais pas le protocole conventionnel, à savoir chimiothérapie, radiothérapie et traitement ciblé.

J’ai uniquement accepté l’hormonothérapie mais les effets secondaires ont été terribles, allant jusqu’à un handicap moteur accompagné d’insupportables souffrances physiques, durant des années, (en plus des séquelles à vie des opérations)… Que j’ai vaincus, bien évidemment.

Une chose est sûre, je serai encore là dans cinq ans, rien que pour t’annoncer au téléphone mes rêves prémonitoires et rire de tes silences gênés, trahissant ton humilité légendaire. 

Merci Laurent et à tous ceux qui ont cru en toi.

Un conseil à tous les malades et leurs proches, commencez par évacuer la peur avant d’entamer un traitement.

Zohra M.

Témoignage – Lymphome de bas grade

Témoignage – Lymphome de bas grade

Bonjour,
Je me permets de vous contacter, d’abord pour vous remercier de vos recherches, mais aussi pour témoigner et vous apporter le « feedback » nécessaire à vos recherches.

Ma maman, âgée de 77 ans, a été diagnostiquée d’un lymphome de bas grade, suite à une IRM du bassin, effectuée pour d’autres raisons. Il était classé stade 4, disséminé.
Il est important de préciser qu’elle avait déjà eu un lymphome diagnostiqué en 1994, avec une bosse sur le front. Ce dernier avait fait l’objet d’une biopsie, révélant son caractère malin. Ma Mère avait alors suivi un traitement en micro-immunologie, et avant de se faire opérer, avait demandé une deuxième biopsie qui s’était avérée… négative !
Plus d’alerte pendant 25 ans, ce qui semble assez courant dans les lymphomes à bas grade, jusqu’à cette IRM de 2019.

Abasourdi par cette nouvelle, j’ai commencé mes recherches et découvert vos travaux sur le traitement métabolique, et les travaux de Thomas Sigfried. Elle a suivi pendant ce temps le parcours de soin «normal»,  avec une biopsie, rendez-vous chez l’oncologue, etc… la machine implacable se mettant en marche !

J’ai commandé l’AAL et l’hydroxycitrate sous forme composée, de marque Vit’all+ (500mg de Carnicia et 100mg d’AAL par gélule). Le dosage n’est pas celui qui est recommandé, mais il faut savoir que ma mère prend déjà beaucoup de médicaments, et je souhaitais limiter la complexité du « traitement »…

Elle a donc commencé le 4 septembre 2019 à prendre deux gélules par jour (donc 600 d’hydroxycitrate et 200mg d’AAL), avec aussi du Xaventin (germe de blé fermenté).
En accord avec son oncologue, elle n’a pas entamé de traitement invasif (chimio ou radio), l’évolution du lymphome étant lente.
Il est à noter que ma maman est persuadée que la biopsie réalisée dans l’aine a entraîné une dissémination, car elle s’est retrouvée peu de temps après un nodule sur la cuisse et un autre sur le front !

Je lui ai conseillé par ailleurs de prendre de la vitamine D3 et de la vitamine K2 mk7, afin de booster ses défenses immunitaires. Suivant moi-même avec succès un régime cétogène depuis 2 ans, je lui ai conseillé de faire de même, mais elle n’a pas souhaité s’ajouter cette contrainte… elle ne prend aucun autre traitement pour son lymphome. Je lui avais commandé du bleu de méthylène, mais elle n’a pas supporté la première prise et n’a pas ré-essayé !

En ce début mai 2020, elle vient d’avoir une analyse de sang afin de suivre l’évolution, et les résultats sont surprenants : sa vitesse de sédimentation revenue à la normale, et le dosage des protéines spécifiques sont proches de zéro (0,1) ! Elle n’a par ailleurs aucun symptôme de sa maladie…

Si besoin, je pourrai vous communiquer les résultats détaillés, mais je tenais avant tout à vous remercier pour vos recherches, et pour la diffusion large de celles-ci sur les médias modernes.

Bien cordialement.

Olivier DAVY

Ma croisade contre le cancer: Survivre pour guérir autrement

Ma croisade contre le cancer: Survivre pour guérir autrement

 

Cet article relate une expérience personnelle, il ne doit en aucun cas être pris comme exemple, sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent.

Ce livre raconte mon histoire, l’histoire d’un homme insouciant menant une vie heureuse à Miami, qui, d’un coup, va basculer dans le cauchemar de la maladie dont le seul nom fait peur : le cancer. Le mien est incurable, ou plutôt les miens car la prostate, les os et les ganglions lymphatiques sont touchés. Malgré le très mauvais pronostic de mes oncologues j’ai décidé que je ne mourrai pas du cancer. Vous pensez que c’est impossible ? Pourtant je devrais être en soins palliatifs ou mort au moment où j’écris ces lignes. Le fait est que je ne me suis jamais senti aussi bien depuis des années. Cet ouvrage retrace ma quête pour essayer de survivre plus longtemps et je l’espère guérir. Tout ce que j’ai mis en application dans cette optique se trouve dans ce petit livre-témoignage, que j’ai écrit avant tout dans le but d’aider et de redonner espoir à tous les malades, abandonnés comme moi à leur triste sort par la médecine officielle.

Ce livre est disponible sur Amazon en format Kindle

Et encore une mourante du Cancer qui refuse de mourir depuis 4 ans.

Et encore une mourante du Cancer qui refuse de mourir depuis 4 ans.

Témoignage de Marielle, diagnostiquée en février 2016 avec un pronostic estimé à 3 semaines de survie !

 

 

 

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